Top 3 des livres de James Dashner

La littérature jeunesse a un penchant presque polarisé entre les genres romantiques (version adolescente) et le fantastique ou la science-fiction. Vous savez, l'industrie de l'édition exige qu'elle pense savoir où frapper à coup sûr les premiers lecteurs.

Bien que, pour être juste, nous puissions également trouver d'autres types de livres catalogués pour enfants qui apportent quelque chose de plus, soit dans des hybrides avec des genres antérieurs, soit même avec d'autres approches qui parviennent à échapper aux diktats officiels et finissent par surprendre tout le monde par leur grande répercussion. Je me souviens avec beaucoup d'affection Le monde de Sofia, par Gaarder, par exemple, un succès brutal aux accents philosophiques...

Dans le cas d' James Dashner nous avons trouvé le auteur de romans jeunesse par définition dans son côté fantastique. Et honnêtement, si je dois opter pour des genres, typiquement définis par les éditeurs, je préfère le fantastique au romantique.

À mon avis, il vaut mieux faire entrer nos enfants dans un monde de millions de possibilités d'imagination (ce formidable outil pour tout développement futur) que de ne pas les engloutir dans des histoires sentimentales (parfois) qui semblent les obscurcir et les amener davantage à ce monde à part dans le que revivre leurs émotions dans la solitude.

Et oui, vous pensez peut-être que l'important est que les garçons lisent quoi que ce soit, éveillant cette interaction avec une langue qui sera essentielle à leur développement le plus complet. Si c'est une question de goût, une fois l'adaptation par âge assumée, qu'ils lisent ce qu'ils veulent, bien sûr. Là, vous avez Blue Jeans à John Green, mais où en est un Laura Gallégo, J.K. Rowking ou James Dashner lui-même et ses incursions dans des sagas passionnantes...

Top 3 des romans recommandés de James Dashner

Le couloir labyrinthe

Le premier volet de la saga "Le coureur de labyrinthe" a provoqué ce grand bond sur le marché international de l'auteur. Une proposition qui compense la fantaisie par un point de vue existentialiste du point de vue le plus jeune.

C'est-à-dire des jeunes qui affrontent la survie avec ce point d'épopée qui propose toujours la recréation d'un monde dystopique, surgissant de nulle part pour exposer ses personnages aux dangers les plus intenses et aux fondements les plus sombres et indéterminés.

Assumer le sort des garçons enfermés de l'autre côté d'un labyrinthe auquel ils doivent faire face chaque jour à la recherche de leur salut, c'est emmener les garçons dans l'ingéniosité, dans les indices, dans la confrontation de leurs peurs. Personne ne sait comment ni pourquoi de plus en plus d’enfants arrivent dans cet endroit ignominieux.

Mais il est également vrai que si un esprit méchant a évoqué ce jeu comme dangereux pour leur divertissement, peut-être ne s'attendaient-ils pas à ce que les enfants puissent enfin relever le défi avec de plus grandes garanties de succès.

Soit ça, soit tu finis par succomber à tes peurs. Jusqu'au jour où elle arrive, la première fille à être affectée à une telle prison connue sous le nom de « la clairière ». Elle est Teresa, et avec Thomas, ils seront en mesure de former une bonne équipe de direction en vue de leur dernière escapade.

Le couloir labyrinthe

Le remède mortel

La troisième et dernière partie de la clairière et du labyrinthe (préquelles présentées plus tard séparément) acquiert une tension maximale entre les garçons dépouillés de leur mémoire et confrontés à la lutte pour la survie, sans savoir très bien ce qu'ils pourraient trouver une fois évadés de là. .

Thomas a passé un temps indéterminé dans un isolement privé. Et enfin Cruel le libère avec ses amis oublieux. Comme toute fin d'une saga intense, nous sommes confrontés à des pertes de personnages qui pénètrent grandement depuis l'arrière-plan.

Mais bien sûr, pour atteindre l’extase finale, il faut contrebalancer une certaine perte pour intensifier encore la lecture. Il est difficile de se plonger dans un développement et une fin sans tomber dans le spoiler exaspérant.

Précisons simplement que Dashner a su, même au prix d'être un peu lourd en développement, offrir une de ces fins qui semblent être transférées dans notre monde en raison de leur grande intensité et émotion.

Le remède mortel

Le jeu infini

La saga « Mortality Doctrine » intensifie cette sensation dystopique étendue à notre monde entier. Ce n'est plus seulement « la clairière » et ses personnages pris dans les limbes devant le labyrinthe.

Il n'y a pas de plus grande dystopie aujourd'hui que celle qui semble s'approcher du virtuel, d'un espace dans lequel les Intelligences Artificielles s'approchent avec leur première intention collaborative mais avec leur capacité imprévisible vers toute autre volonté moins positive.

Dans cette première partie, nous découvrons Red Virtual, le jeu le plus célèbre parmi les jeunes garçons. Michael est un joueur très doué et capable de pirater le jeu à volonté pour son propre bénéfice.

Mais ses dons sont soudainement requis par le gouvernement pour trouver une menace qui semble vouloir passer du cyber-monde au vrai. Et puis le jeu prendra une autre dimension. Et la compétition mettra Michael devant son ennemi le plus cruel et le plus puissant.

Le jeu infini
5/5 - (10 voix)

1 commentaire sur « Les 3 meilleurs livres de James Dashner »

  1. La trilogie du jeu infini dans mon préféré sans laisser de côté le Maze runner qui est aussi très bien

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