La Villa des Tissus, par Anne Jacobs

Le village des tissus
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Le réveil du XXe siècle est probablement l'une des étapes les plus littéraires de l'histoire de l'Europe, un continent qui a commencé ce dernier siècle du deuxième millénaire entouré d'une évolution constante et d'un bouleversement géopolitique et social marqué. La modernité se profile à l'horizon avec l'industrialisation, le développement, la technologie..., de la même manière que de sombres présages se profilent sur une réalité qui annonce des guerres et qui secoue périodiquement la population par des catastrophes de toutes sortes.

Écrire des intrahistoires dans cette phase de notre civilisation est tentant. Et c'est ainsi qu'Anne Jacobs l'a compris dans La Villa de las Telas, un roman qui commence déjà à être un phénomène littéraire chez de nombreux lecteurs de l'Europe d'aujourd'hui qui aiment se plonger dans ce miroir de détail du passé.

Car c'est ce qu'est ce roman, l'histoire d'une saga familiale en 1913, et de tout ce microcosme de personnages qui abrite la ville allemande millénaire d'Ausburg. Les paradoxes habituels entre la vie apaisante des classes aisées et la lutte acharnée des plus démunis à la recherche d'un vestige d'avenir.

Le saut entre les classes sociales et l'amour comme un aimant en fuite qui peut finir par magnétiser des personnes d'horizons très différents. Trahisons et espoirs, émotion à foison pour le destin qui peut attendre tant de personnages si bien peints par l'auteur.

Les Melzer, riches et puissants dans l'Allemagne du moment, ont leur personnel de service où entre Marie, une jeune femme sans famille mais ouvrière, et avec une grande envie de se tailler un avenir...

Paul Melzer doit prendre le relais du commandement de la puissante famille. Mais dans sa jeunesse actuelle, il devine déjà qu'il n'a aucun don pour ce commandement de fer sur les biens et les personnes qui devraient être supposés être un héritier digne.

Marie et Paul. Abri des rêves de l'un et de l'autre. L'aimant peut finir par les attirer. L'amour est capricieux...

Mais les Melzer ne sont pas ce qu'ils sont uniquement grâce au travail et aux efforts pour élever leur nom. Chaque famille a ses secrets. Plus une maison est grande, plus son sous-sol doit être grand pour pouvoir abriter des secrets indicibles...

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